On ne présente plus vraiment Bandai Namco, l’une des références absolues du jeu vidéo depuis plusieurs décennies. La société japonaise, forte de sa notoriété, se lance alors dans de nouveaux objectifs et dans des catégories jusqu’ici, inexplorées.
Lancé le 2 août dernier, le jeu RYUZO met en avant un animal virtuel faisant également office de NFT avec le principe grandissant de l’intelligence artificielle. L’ensemble du jeu et des dérivés prennent place sur le réseau Oasys Network, une blockchain réputée pour ses actions écologiques et portées vers l’avenir. Après EA Sports et le partenariat avec Nike pour les NFTs, toutes les sociétés de production vidéoludiques semblent se diriger vers la création de NFT et de projets en ce sens. Présentation du petit dernier.
Un Tamagotchi des temps modernes
La génération Z s’en souviendra très certainement. La mania des Tamagotchi avait frappé durant de nombreuses années et aujourd’hui, cette popularité est de retour en direction d’animaux virtuels grâce à tout ce qu’offrent les NFTs et les diverses possibilités en matière de décentralisation, à l’instar des NFTs et du métavers. Le concept de base venait déjà de Bandai Namco et ce n’est donc pas surprenant de voir que plusieurs années plus tard, la société nippone relance un concept immense, modernisé grâce aux possibilités liées au monde actuel. Cependant, les NFTs ne sont pas les seuls attraits des temps modernes et l’intelligence artificielle continue elle aussi, de jouer un immense rôle dans nos vies. L’animal de compagnie virtuel appelé RYU intègre lui aussi, cette fameuse IA.
Un écosystème pensé pour les joueurs et les investisseurs
Chaque RYU ou animal possédé est l’équivalent d’un NFT dans ce jeu disponible sur la blockchain et les services décentralisées de Oasys. Chaque créature se transforme en jeton Soulbound après avoir éclos et c’est grâce à ce même principe que la blockchain assure la conformité et l’originalité du NFT. Dans le cas d’un investissement, cette donnée est forcément recherchée par les utilisateurs potentiels.
Lors du lancement officiel de cette expérience, 10 000 œufs digitaux ont été lancés sous le nom de MARYU. Ils ont été délivrés, entre autres, aux propriétaires initiaux du projet NFT de Oasys, appelé alors “Oasyx project”.
Le monde numérique continue de s’étendre et d’intégrer de nouveaux atouts à l’écosystème des NFT et du métaverse. Rendez-vous sur Tokize.com pour suivre l’ensemble des actualités de ce type.